Les techniques d’ajustements chiropratiques

Les techniques d’ajustements chiropratiques

Une question qu’on nous pose souvent à la Clinique Solution Santé Chiropratique est la suivante : « Quelle technique utilisez-vous ? ». C’est une question très pertinente à laquelle il est difficile de répondre en quelques secondes. Le Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C. utilise un éventail de techniques d’ajustement chiropratique, dont plusieurs thérapies complémentaires ainsi que trois types de soins chiropratiques dans le but de s’adapter aux besoins spécifiques de chacun de ses patients. Par ailleurs, le docteur en chiropratique met annuellement à jour ses connaissances en participant à différents séminaires et formations. Voici donc une synthèse des techniques offertes à la clinique.

Les techniques d’ajustement chiropratique

En chiropratique, on appelle « ajustement chiropratique » le nom donné aux traitements . Pour faire un petit retour sur les bases de la chiropratique, nous vous suggérons de consulter les articles suivants : Petit retour sur les bases , Top 5 des mythes chiropratiques démasqués et La chiropratique simplifiée.

  • Technique « Toggle », « Toggle Recoil » ou « HIO » (Hole in one)
    Il s’agit de l’une des premières techniques enseignées au Palmer College of Chiropractic, le berceau de la chiropratique, où le Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C. a suivi sa formation. Cette technique est utilisée sur l’Atlas et l’Axis, soit les deux premières vertèbres cervicales. Cette technique, considérée comme étant l’ajustement spécifique,  consiste à faire chuter la section cervicale sur une table adaptée grâce à un système mécanique appelé « drop ». Il s’agit d’un ajustement rapide et sans douleur qui peut être pratiqué chez les bébés et les jeunes enfants. Généralement, cette technique ne produit pas d’autre bruit que celui de la table. Cette technique est la technique de base du Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C. L’alignement du poids de la tête sur ces deux premières vertèbres doit être équilibré avant d’effectuer d’autres corrections plus bas dans la colonne vertébrale (pour en savoir plus, cliquez ici). L’impact de cette technique sur le système nerveux est plus que considérable et les résultats cliniques sont parfois étonnants. À cet égard, il arrive que l’on y ait recours lorsque les autres techniques ne produisent pas les résultats escomptés. » Elle a même entraîné la formation d’une association nommée National Upper Cervical Chiropractic Association (NUCCA).
  • Technique diversifiée
    Sans doute parce qu’il s’agit de la technique de chiropratique la plus enseignée mondialement dans différentes universités, la technique diversifiée est considérée comme étant un simplement un « ajustement chiropratique ». Elle est effectuée avec les mains qui exercent une poussée appelée « trust ». Cette poussée de haute vitesse et de faible intensité sur une seule vertèbre ou sur un segment de vertèbres lui vaut d’être aussi connue sous le nom de « High Speed Low Amplitude » (HVLA). Contrairement à la technique Toggle, il n’est pas rare d’attendre une petite cavitation articulaire.
  • Technique Thompson et « Pierce Stillwagon Technique »  (PST)
    Cette technique est également pratiquée sur une table adaptée qui repose sur un système mécanique appelé « drop ». Il s’agit quand même de faibles poussées, aussi nommées « trust » qui sont considérées comme étant un compromis entre l’ajustement classique (HVLA) et les techniques légères. Au besoin, le docteur en chiropratique peut répéter à quelques reprises cette technique sur la même articulation.
  • Technique Logan (Logan Basic Technique)
    La technique Logan est parmi les techniques chiropratiques les plus légères. Elle convient particulièrement bien aux bébés, aux enfants, aux femmes enceintes et aux personnes âgées qui souffrent d’ostéoporose. Cette technique consiste à maintenir une faible pression sur un point précis à la base du sacrum afin d’utiliser les muscles fessiers et lombaires comme levier pour balancer l’ensemble de la colonne vertébrale. Cette technique favorise « la diminution des tensions musculaires et l’amélioration de l’équilibre vertébral. »[1] Par ailleurs, elle provoque un ralentissement de la respiration, rétablit la mobilité vertébrale, active les mécanismes d’autoguérison du corps en plus de diminuer les blocages et les douleurs articulaires, notamment au niveau du cou, des épaules, des bras et du dos.
  • Technique Activateur ou « Activator Chiropratic Technique »
    Cette technique doit son nom au petit pistolet,  l’«Activator Gun » utilisé. Il s’agit d’un petit appareil à percussion muni d’un embout et d’un ressort dont la profondeur est ajustable. Lors du traitement, l’appareil permet de maintenir un point de contact localisé et de fournir une impulsion mécanique plus rapide. Elle fait partie des techniques légères et serait la deuxième technique la plus populaire. La technique « activateur » est demandée par les patients qui craignent les « craquements » et est utile pour les patients qui souffrent d’ostéoporose ou d’arthrose.  Elle est tout aussi utile pour améliorer la mobilité d’une articulation ou pour corriger certaines dysfonctions neuromusculosquelettiques.
  • Technique de points gâchette (Trigger Points) ou Nimmo Receptor-Tonus
    Il faut comprendre que les points gâchette sont des zones très irritables qui sont propices à créer des nœuds sensibles. C’est particulièrement le cas à l’endroit où se croisent les muscles. Ces nœuds sont en fait des accumulations de substances toxiques qui occasionnent de la douleur et limitent les mouvements. Le docteur en chiropratique est en mesure d’identifier ces zones de tensions en palpant avec ses mains. Une fois le nœud détecté, le Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C. effectuera des pressions ou des compressions ischémiques pour détendre le nœud et dissiper les substances toxiques. Comme cette technique consiste à travailler sur la zone sensible, il est possible de ressentir un certain inconfort, un peu comme si l’on appuyait sur une ecchymose (un bleu). Il s’agit tout de même d’une technique légère qui ne nécessite pas de poussées (trust) sur les articulations et qui favorise un retour du tonus musculaire. Notez que cette technique est parfois mieux connue sous le nom de son inventeur « Nimmo ».
  • Technique SOT (Sacro Occipital Technique)
    Sans devoir passer en revue tous les détails de cette approche, on peut décrire la SOT comme une technique qui consiste à utiliser des blocs pour détordre ou redresser le bassin. Pour ce faire, on utilise le poids du patient au lieu d’une poussée (trust). Les blocs sont placés selon les besoins spécifiques de la personne traitée alors qu’elle est placée sur le ventre ou sur le dos.

Chiropratiquement vôtre, 

Dr Pascal Paquet, chiropraticien, D.C.
Clinique Solution Santé Chiropratique Inc.
61, rue Thornton Nord
Coaticook (Québec) J1A 2E1
Téléphone : (819) 804-4440
www.cliniquesolutionsante.com

Sources:
http://chiropratiquesillery.ca/les-differentes-techniques-chiropratiques-utilisees-par-les-chiros-du-quebec/

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *